LA MERVEILLEUSE COLLECTE D'ARGENT
Le message suivant a été laissé sur la ligne d'assistance du 'Moked HaYeshua' (centre des miracles) et est apparu dans le numéro 61 du bulletin Knishta Chada :
"Je voulais informer la communauté de l'histoire suivante, qui met en évidence l'importance d'avoir une emunat chachaim (croyance en les Sages) et de faire ce qu'ils disent, même lorsque cela nécessite une mesirut Nefesh (sacrifice de soi).
Récemment, quelqu'un est venu parler au gabbay du Rav, shlita, au sujet d'un jeune bochur (étudiant) de yeshiva qui est soudainement tombé dans une sévère détresse mentale, que D.ieu ait pitié de lui, ce qui signifiait qu'il n'avait ni mangé ni dormi depuis huit jours.
Le gabbay a informé la famille au nom du Rav, shlita, qu'ils devraient collecter auprès de la communauté la somme nécessaire pour effectuer un pidyon nefesh pour le jeune homme. Il est important de souligner ici que la famille en question est pauvre et n'a pas beaucoup d'argent. Ils ont commencé à essayer de collecter l'argent ensemble, mais ils ne savaient pas combien ils allaient réunir ni qui ils pourraient convaincre de faire un don.
Cependant, la famille a été renforcée par les paroles du Rav, qui leur a dit de collecter l'argent ensemble en une semaine, même s'ils ne savaient pas qui donnerait ni combien, etc.
La dernière nuit de cette semaine, il manquait encore 3 300 shekels, et la famille n'avait plus personne à qui demander. À ce moment-là, l'un des avreichim locaux (étudiants de la Torah) qui s'étaient portés volontaires pour aider la famille à collecter l'argent décida d'aller s'asseoir dans la yeshiva "Machane Yisrael" à Jérusalem et d'y réciter des Tehillim (Psaumes).
Alors qu'il lisait le Tehillim 22, qui commence ainsi : "Au chef des chantres. Sur Aïéleth chachar. Psaume de David. Mon Dieu! mon Dieu! pourquoi m'as-tu abandonné, Et t'éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes ?", un autre jeune homme s'approcha pour lui parler.
Il lui dit qu'il avait récemment obtenu une très grosse somme d'argent et qu'il lui restait encore 3 300 shekels qu'il devait donner en tzedakah, et savait-il si quelqu'un avait vraiment besoin de cet argent ? L'avreich lui fit signe d'attendre qu'il ait terminé de réciter le verset, et il raconta : "J'avais vraiment les larmes aux yeux lorsque j'ai fini ma prière."
L'avreich poursuit : "J'ai emmené cet homme auprès de la mère de l'étudiant malade. Nous nous sommes tenus près de sa porte, et j'ai crié à travers la porte pour lui demander combien d'argent il lui manquait encore pour le pidyon. Elle m'a entendu et a crié en retour : '3 300 shekels, exactement'."
"Nous sommes allés contacter le gabbay du Rav Berland, avons effectué le paiement pour le pidyon, et baruch Hashem, très peu de temps après cela, la détresse mentale de l'étudiant a disparu, et il récupère lentement et reprend une vie normale."
No comments:
Post a Comment