Sunday, September 11, 2022

Histoires incroyables de grandes délivrances grâce au Zera Shimshon wow b'h!




"La garantie qui est revenue avec vigueur"

Rabbi D. J. de Jérusalem, nous raconte son expérience:

Je connais le livre Zera Shimshon depuis un long moment. Depuis que j'ai entendu parler de ce saint et livre prometteur, je l'étudie constamment, chaque jour, et je ne peux pas me déconnecter de lui. Récemment, j'ai décidé d'accroître le mérite de l'étude de ce livre et de le répandre au grand public, donc je commença à distribuer autour du voisinage dans lequel je vis le bulletin quotidien contenant les mots doux de l'auteur.

Chaque vendredi, après midi, je vais aux Batei HaKnesset dans mon voisinage pour laisser quelques copies du bulletin. Dans de nombreux Batei HaKnesset ils me reçoivent avec grand honneur, et j'entends des phrases comme, " Voici le voilà, le bulletin de bon augure qui arrive!" Expressions comme ceux-là m'émeut chaque fois et, évidemment,  me donne la force de continuer avec cette activité spéciale.

Quelques semaines auparavant, ma voiture tomba en panne. Je pensais innocemment que c'était un problème routinier, et j'allais à l'atelier où ils prennent toujours soin d'elle pour des révisions quotidiennes, changement de pièces, etc. Après que les mécaniciens effectuèrent une examination poussée, ils découvrirent qu'une pièce onéreuse avait besoin d'être remplacée, avoisinte les $2.500. Je n'ai pas trop sursauté car j'étais sûr que ma voiture était encore sous garantie, et que je devais avoir cette pièce pour gratuite. 

Mais après quelques minutes, quand le magasin vérifia l'ordinateur à propos de la garantie de la voiture, ils me firent remarquer qu'elle avait expirée la semaine dernière. Actuellement, la garantie n'était plus valide. Donc je devais payer le prix complet pour la pièce coûteuse.

À ce moment tous mes plans se compliquèrent. Quand j'étais rentré au garage avec la voiture en panne, je pensais que je devais payer une centaine de dollars, je n'imaginais pas que ce soit des milliers de dollars. Comment allais-je récolter cette somme?

Ma situation devenait très compliquée. Pour mon travail j'ai besoin de la voiture chaque jour; que pouvais-je faire maintenant? Je rentrais à la maison et essaya de continuer avec la routine quotidienne, mais je ne pouvais pas me concentrer. Je savais que je n'avais aucun moyen de récolter cette somme d'argent cette nuit. 

Malgré la difficulté que j'étais en train de faire face, cette nuit je m'assis pour étudier le Zera Shimshon comme je fais habituellement chaque nuit. Mais cette nuit, ouvrir le livre avait une signification différente qu'auparavant. Je sentis que la bénédiction de l'auteur était à mes côtés.  Je me dis à moi-même: "Maintenant j'ai beaucoup besoin de la bénédiction de l'auteur", et ainsi je continuais à prier du plus profond de mon cœur, pour le mérite de l'auteur sacré, si bien qu'il me fournirait le grand salut que j'avais besoin. Je donna rapidement une somme d'argent à l'Organisation Mondiale pour la Dissémination de la Torah du Zera Shimshon pour les aider à répandre les mots de Torah du Zera Shimshon. En plus, j'allumais des bougies pour l'élévation de l'âme de l'auteur, Rabbeinou Shimshon Chaim ben Rabbi Nachman Michael zatsal et fit la résolution que, si, beezrat Hashem, je méritais le salut à propos de la voiture, je raconterais mon miracle au public, de laisser le grand public connaître du pouvoir du saint auteur. 

En effet, mon salut arriva inopinément. Le matin suivant, le garage m'appela, et tandis que j'étais en train de penser de comment leur demander pour une réduction ou s'ils m'autorisaient à payer en plusieurs fois, ils me dirent que le propriétaire du garage avait décidé que, depuis le peu de temps que la garantie avait expirée, il était disposé de faire les réparations gratuitement, même si la garantie avait expirée. 

De cette anecdote j'appris que le saint auteur n'abandonne pas celui qui donne satisfaction en réalisant sa requête de celui qui étudie son œuvre, et d'en-haut Hashem influence celui qui étudie le Zera Shimshon. Et de mon côté, je garde ma promesse de publier l'expérience de rédemptionparticulière, en partageant cette anecdote avec vous.

(Traduit le 16 Elul 5782)



"Le salut arrive immédiatement"

L'anecdote suivante de M.G.R, haiu:




"Le salut apporté par l'augmentation de ceux qui étudient "




 

Tuesday, September 6, 2022

Comment prier pour que nos prières soient acceptées


Le Chizzuk quotidien de notre Rebbe, le Gaon et Tzaddik, Rabbi Eliezer Berland shlit”a – Pourquoi Moshe devait-il apprendre à supplier?

“J'ai supplié Hashem en ce temps, disant” (Devarim 3:23)

“Il prit note quand ils étaient en détresse, quand il entendit leur protestation” (Tehilim 106:44)

Dimanche, 8 Elul 5782 – Hashem enseigna à Moshe comment prier pour que ses prières soient exaucées.

Ceux-ci sont ses saints mots:

Il y a trois catégories de Megaleh Amukot (un livre écrit par Rabbi Natan Natah Shapira zt”l de Cracovie):  Il y a des catégories dans la parasha, et il y a celles dans “Va’etchanan (J'ai supplié)” qui révélent tous les secrets de Moshe à propos de ce qui est dans “Va’etchanan.”

Hashem dit à Moshe, “Tu ne sais pas comment supplier.  Qu'est-ce que ceci: “J'ai supplié”?  Tu ne parles pas correctement.  Tu as besoin de dire un chant au préalable et de chanter!”

Avant d'aller prière, tu as besoin de chanter, de faire quelque niggoun (mélodie), de dire quelque verset. C'est impossible de juste sauter dans la prière.  Par conséquent, une personne n'est pas répondue.

Une personne ne comprend pas.  Il n'a pas d'enfants.  Il n'a pas de partenaire de mariage.  Il ne sait pas [comment] prier – “J'ai supplié!  C'est comment supplier?  Tu ne sais pas comment supplier.  Apprends du Leviathan, car nous avons besoin de mériter la Souccah du Leviathan, qui est la 50ème Porte.”

Apprends – il y a un Leviathan.  Le gros problème est que nous voulons aller à la Souccah du Leviathan. Encore 35 jours c'est déjà Souccot.   Regardant le Leviathan, c'est écrit “esclave.” – De cette façon, tu ne seras pas esclave.  Tu ne sais pas comment supplier.  Tu as besoin de dire un chant au préalable, de chanter,  de faire une mélodie.  Ils font une mélodie avant et après la prière de Maariv.

Seulement à travers les niggounim la prière monte. Sans les niggounim, c'est seulement prière.

Le Rebbe dit, “Il prit note quand ils étaient en détresse, quand il entendit leur protestation” [dans Likoutey Moharan 42 – qu'à travers le niggoun les jugements sont adoucis].  Comme l'arc-en-ciel a des couleurs – il y a la couleur verte, il y a la couleur rouge – de même avec la prière.  Nous avons besoin des couleurs.

Sans couleurs, c'est impossible de voir quelque chose.  Sans couleurs, il n'y a pas de saveur.  De même pour la prière; si c'est sans couleurs,  il n y a pas de saveur. Il y'a les trois couleurs de l'arc-en-ciel  – blanc, rouge, vert.

Encore 35 jours, nous serons déjà assis dans la  Souccah, et  nous n'avons pas encore préparé la Souccah. Nous avons besoin d'atteindre la Souccah du Leviathan, de prier avec supplications.  Nous forgeons une alliance – “il devra être pour toi un esclave éternel” (Devarim 15:17).

Une personne a besoin d'être un esclave de Hashem.