(Amabilité d’Artscroll) Tout cela commença avec un homme qui s’appelle Reb Yisroel Zilberberg, qui a établit une organisation appelée Maftei’ach Shel Banim qui se focalisait en offrant une assistance spirituelle aux couples en attente des enfants. Son engagement dans leurs vies débuta dans une façon très modeste, avec Reb Yisroel compilant des pensées et idées de Torah qu’il sentit que ça pouvait servir comme Chizouk pour ceux qui étaient en attente d’une Yeshoua, Segoulot qu’il trouvait dans Chazal et autres idées de Torah pertinentes, dont il partagea avec ceux dans le besoin.
Reb Yisroel avait un bon ami dénommé Yechiel qui était marié depuis plus de 10 ans et n’avait pas encore était béni d’enfants. Inutile de dire, le couple avait le cœur brisé. Reb Yisroel a vu une personne talentueuse avec d’énorme Kochot qui était en train de souffrir terriblement. De même il allait à travers une période difficile, Yechiel était très intéressé dans les Vertlach que Reb Yisroel était en train de faire et commença à l’aider à rechercher les sources de Chazal se rapportant au sujet d’avoir des enfants. Après un temps, Yechiel suggéra qu’ils commencent à distribuer leurs pensées de Torah à une plus grande échelle ainsi plus de personnes pourraient recevoir du Chizouk de leurs efforts.
En ce temps Reb Yisroel était jeune avec aucune expérience d’écriture, mais Yechiel était persistent, et à la fin Reb Yisroel céda et commença par distribuer la Torah qu’ils avaient compilés dans une newsletter hebdomadaire de Chizouk. Ils n’écrivaient pas au sujet des défis d’attendre des enfants, se focalisant à la place sur les idées merveilleuses de Torah qui aideraient à soulever les personnes de leur dépression avec des pensées de joie et d’espoir. Leur initiative réussit et la liste grandit pour inclure 700 personnes à travers le monde qui appréciaient leurs écrits et les mots de Chizouk. Pour certaines des personnes la newsletter fut envoyée sous forme de courrier. Un ami apporta une autre liste et leur liste grandit de semaine en semaine.
Ce fut quand Reb Yisroel rencontra un homme dénommé Reb Binyomin Paskesz de Williamsburg. Reb Binyomin a découvert le contenu de Torah qu’ils étaient en train de publier, connecté avec ce qu’ils étaient en train d’essayer de faire, et ajouta 80 autres noms à leur liste – des personnes dont il sentit que cela pourrait leur être profitable de faire partie de Maftei’ach Shel Banim. Reb Binyomin est un homme d’action, à travers ses efforts, ils furent capable d’atteindre plus de personnes dans le besoin aux États-Unis.
Pendant ce temps, cependant, Reb Yechiel n’avait pas encore mérité une Yeshoua de luimême. Reb Yisroel regarda avec tristesse que Yechiel était de plus en plus renfermé et blessé au fil des années. Ses espoirs s’assombrirent, ils semblaient incroyablement comme un rêve qui ne deviendrait jamais vrai.
À travers ces premières années, Reb Yisroel Zilberberg reçut un nombre de coups de téléphone de personnes qui voulaient de lui qu’il écrive au sujet d’assortiment de Sefarim qui contribuerait à apporter des Yeshuot aux gens.
Le titre de l’un d’eux était le Zera Shimshon.
« Pourquoi ne pas écrire à propos de ce Sefer dans notre newsletter hebdomadaire ? » ils suggèrent, mais il ne les pris pas sérieusement. Il n’avait jamais entendu de ce Sefer, il avait de nombreux supports d’autres sources, et il ne s’en est simplement pas occupé.
Et donc tandis que l’organisation de Reb Zilberberg était en train de grandir et il était en train d’aider plus et plus de personnes avec son travail, il n’avait pas encore ouvert un Zera Shimshon.
À l’hiver de 2007, un ami de Rabbi Nachman Seltzer l’approcha après la prière du vendredi soir à Ramat Beit Shemesh et demanda s’il avait du temps pour écouter une histoire qui arriva à son beau-père, qui vivait à Manchester. L’histoire impliquait le Zera Shimshon, écrit par Rav Shimshon Chaim Nachmani zatsal, auteur d’un nombre de Sefarim. Ce Tzadik avait eu un fils, qui partit durant la vie de Rav Nachmani. Il a donc pris la décision de laisser derrière lui des Sefarim pour que les gens puissent les étudier, et il écrit dans l’introduction du Sefer qu’il promet toutes sortes de bénédictions à celui qui étudie son Sefer : « Hashem se tiendra à ses cotés ; la personne qui étudie le Sefer s’assoira à sa table entouré par ses enfants et famille ; merveilleuses bénédictions, toutes données chaleureusement à la personne qui étudie son Sefer. Une maison remplie avec tout ce qu’il y a de bon… Les Brachot commenceront dans ce monde et continueront dans le Monde à venir... »
Dans les semaines suivantes l’histoire de la publication, les lecteurs l’ont contacté, essayant de se procurer le Sefer – seulement pour étudier ces précieuses copies étaient encore en existence. La majorité des magasins de Sefarim n’avaient pas pris le Sefer, et ceux qui l’avaient en stock. Ils étaient couverts de poussière et pouvaient être achetés à bas prix.
Le Zera Shimshon, et son compagnon le sefer Toldot Shimshon, avaient été écrits par Rav Nachmani, qui était un grand Talmid Chacham et Tzadik de la ville italienne de Modène. Il avait servit comme Rav dans différentes communautés italiennes – Modène, Pise, Sienne et Rego. Pas seulement était-il révéré et respecté dans sa propre ville, mais Rav Nachmani fut désigné Rav pour pas moins de cinq villes satellites également.
Rav Nachmani était le petit-fils de Rav Yehouda Matzliach, un des plus Rabbanim italien. Rav Nachmani étudia avec le beau-père du Ramchal, Rav Dovid Pinci, et était un Talmid de Rav Binyomin HaKohen b’inyanei Kabbalah. Il grandit dans la Torah et était hautement estimé par les plus grands Gedolim de son temps. The Chida référait de lui comme « Chasida Kaddisha » - un individu extrêmement vertueux, et écrit, « J’ai entendu qu’il était compétent dans la Kabbalah pratique et qu’il demanda que tous ses écrits privés sur la Kabbalah soient enterrés avec lui quand il partira. »
Bien que le Zera Shimshon fut béni avec un fils, il partit dans la vie de Rav Shimshon Nachmani, et cela servit comme une source de motivation pour la promesse qu’il rédigea dans l’introduction de ses Sefarim. Il appela également ses Sefarim Toldot Shimshon et Zera Shimshon.
Zera Shimshon respectueusement, titre qui indique qu’il considérait ses Sefarim comme une contribution personnelle au monde - ils étaient ses « enfants », façon de parler – et serviraient de le remémorer pour tout le temps.
Pendant des années, presque personne n’étudia les Sefarim. Difficilement personne n’avait même entendu d’eux. Ils étaient publiés dans une police d’écriture à l’ancienne et était très difficile à lire et à comprendre. Mais l’article de Rabbi Seltzer à propos du Sefer en 2007 prit le monde la Torah d’assaut. Soudainement chacun voulait une copie du Sefer. Il devenait presque impossible d’acquérir un Zera Shimshon parce qu’ils avaient tous été achetés.
Le Sefer partit d’un que personne ne connaissait à propos à quelque chose que chacun voulait. C’était incroyable à voir.
Mais cela ne restait pas là. Les mois passés, puis années, et les gens appelaient encore Rabbi Seltzer demandant, presque suppliant, pour les détails au sujet du Sefer. Il leur dit de rester en contact avec Rav Wagschal de Williamsburg, car c’était le nom à contacter et numéro de téléphone attribuait sur la page de garde du seul livre que Rabbi Seltzer avait. Le nombre était un ancien numéro – six chiffres en tout – de même l’adresse de Rav Wagschal à Williamsburg était incluse. Il semblait que ceux qui voulait posséder une copie du Zera Shimshon devraient travailler bien plus durement pour l’obtenir. Cinq années passèrent. Encore les gens restaient en contact, voulant savoir comment localiser le Sefer.
En 2012, Rav Yitzchok Yosef Zilberberg, un des Roshei Yeshiva des Yeshivot Ohel
Shimon-Erlau, et père de Reb Yisroel, visita le Canada pour un mariage. Un Chashouve
Rosh Yeshiva, son père connaissait de près l’ami de son fils Yechiel, l’ayant enseigné en Yeshiva, et était en train de chercher à avoir des bonnes nouvelles de son ancien ami. Durant le cours du repas, quelqu’un partagea un Vort avec lui du Zera Shimson.
« Qui est le Zera Shimshon ? » Le père de Reb Yisroel voulut savoir. Il n’avait jamais entendu du Sefer, et ici cette personne était en train de partager son Vort avec un réel enthousiasme comme si le Zera Shimshon était une fameuse œuvre de Torah – cependant il, un proéminent Rosh Yeshiva, n’avait jamais entendu parler du nom mentionné.
L’homme qui lui avait dit le Vort pointa vers quelqu’un d’autre qui venait juste de passer.
« Regardez cette homme ? » il dit. « Son nom est Reb Reouven Sharf. Il est de Boro Park, et il a contribué dans la publication originale du Sefer des années auparavant. »
Le père de Reb Yisroel approcha l’homme et lui demanda au sujet du Sefer. Reb Reouven écouta et commença à raconter chaleureusement au Rosh Yeshiva israélien tout au sujet du Zera Shimshon.
« Tout débuta il y a environ 40 ans, » Reb Reouven Scharf disait, la nostalgie évidente dans sa voix. « J’étais un jeune homme qui travaillait dans le business de l’impression des Sefarim. Un jour, quelqu’un entra à la boutique avec une copie de la version originale du Sefer. »
« Regarde ici,’ me disait-il. « Ce Sefer fut imprimé seulement une fois dans la vie du Mechaber et jamais de nouveau été imprimé. Mais regarde de ce que l’auteur écrit dans l’introduction… Il veut vraiment vraiment que les gens étudient son Sefer... »
« Je promis de prendre un regard plus attentif au Sefer. Si c’était tant important pour l’auteur que les Juifs étudient son Sefer. Je décidais que je regarderais ce que je pourrais faire. Toutefois, avec même les plus grandes intentions j’avais encore un problème, car ça allait prendre une large somme d’argent pour publier le Sefer et j’avais aucune idée comment je managerais à couvrir les charges ! Faisant un acte Chesed pour le Mechaber est une chose, mais je ne voulais pas aller dans des dettes importantes non plus ! Je fis une estimation et réalisa que j’aurais besoin d’environ $5.000 pour imprimer le Sefer.
Donc je visitais un ami depuis un moment et n’avais pas encore d’enfants et je lui demandais pour l’argent.
« Te considérerais-tu de payer pour l’impression pour ce Sefer ? »
« Il voulut savoir pourquoi il devrait choisir ce Sefer parmi tant d’autres. Je lui ai dit au sujet de la Bracha du Mechaber dans l’introduction. »
« Mon ami était d’accord, me donna l’argent, et, en effet, fut béni avec un enfant plus tard cette même année ! »
« Avec l’argent en main, » Reb Reouven continua, « Je visita Reb Naftali Elimelech Wagschal de Williamsburg, qui était aussi en train d’attendre d’être béni avec des enfants, et je lui ai dit que basé sur ce que le Mechaber avait écrit ça serait Kedai pour lui d’être inclus. Je lui demanda de diriger l’équipe de Talmidei Chachamim qui vérifieraient le Sefer entier, faisant les corrections nécessaires, et aidant à préparer le Sefer pour l’impression. »
Reb Naftali Elimelech consulta avec le Kashau Rav de Williamsburg, qui le conseilla de diriger le projet. Il choisit une équipe de trois Avreichim, qui en plus d’être d’incroyables Talmidei Chachamim, étaient tous encore en attente d'être bénis par des enfants. Dans une tournure étonnante des évènements, tous trois avaient des enfants avant même que le Sefer soit imprimé! Rav Wagschal, également, s'est retrouvé avec une belle famille.
***
Comme il commença à étudier le Zera Shimshon, Reb Binyomin Paskesz appela Rabbi Seltzer pour lui demander d'écrire un autre article à propos du Sefer pour que les gens sachent au sujet du trésor en leur sein.
Ce faisant l'histoire réellement commença. Parce que c'était quand Reb Yisroel et Reb
Binyomin commencèrent à inclure des Vertlach du Zera Shimshon dans leur newsletter de Torah hebdomadaire. Ils commencèrent également à travailler sur la publication d'une autre belle version du Sefer.
Et de plus en plus d'histoires commençaient à venir à eux.
Après qu'un autre article fut publié, le téléphone de Reb Binyomin commença à sonner sans cesse. Ceci éventuellement mènerait à de multiples Shiourim du Zera Shimshon à travers le monde entier, aussi bien qu'un site internet dévoué à cette Torah. Aujourd'hui une personne peut écouter des Shiourim du Sefer en hébreu, yiddish et anglais. Enfin, les personnes prenaient conscience de ce qui est en dormance depuis tant d'années.
Les choses avaient commencées à se développer avec de plus en plus de personnes qui entendaient parler du Sefer, étudiaient le Sefer, et bénéfiçaient de son influence dans leurs vies. De plus, Reb Yisroel et Reb Binyomin sont constamment afférés dans de nombreux projets du Zera Shimshon, comme la newsletter hebdomadaire "Le Zera Shimshon sur la Parasha". Maintenant Artscroll est en train de publier un set de 10 volumes révolutionnaire du Zera Shimshon, traduit, annoté, et élucidé. L'excitation et l'anticipation entourant ce projet est palpable.
"Tout ceci commença", dit Reb Yisroel, "Avec une fête de Tou B'shevat et le miracle qui se produisit de suite après – que nous ne pouvions pas et ne voulions pas ignorer. La délivrance personnelle de Reb Yechiel nous incita de rendre accessible le Sefer à tout à chacun qui pourrait l'en être bénéfique. Ça causa que Reb Binyomin de joindre Reb Wagschal et de lui demander de réimprimer le Sefer, pour que Reb Binyomin puisse récolter les fonds. Comme ça commençait à être de plus en plus connu, ils pouvaient ressentir que le Mechaber du Sefer, Rav Shimshon Chaim Nachmani, était en train leur sourire de Shamayim."
***
"Il y a un point à considérer," disait Reb Yisroel. "De nombreuses personnes m'ont dit qu'ils étudient le Sefer pour une raison: car le Tzadik leur demanda. Non du fait de la Segoulah et non plus du fait de la promesse dans l'introduction et non du fait des miracles incalculables qui ont été entendus. Juste parce que Rav Shimshon Chaim Nachmani d'Italie laissait une Tzava'ah demandant au Klal Yisrael d'étudier son Sefer.
"Autre chose – tandis que c'est un effet secondaire agréable peut-être – soit secondaire. Le Zera Shimshon partit sans laisser d'enfants. Ses Sefarim sont ses enfants et il est rempli de gratitude quand nous apprenons sa Torah.
"Même si il y a d'incroyables histoires au sujet de l'efficacité du Zera Shimshon pour ceux qui recherchent des Yeshuot, il n y a pas de telle chose comme une Segoulah à toute épreuve avec des résultats garantis. Ce qui est garanti est que vous lirez de beaux, profonds et inspirants Divrei Torah – et accomplirez les voeux de l'auteur, un vrai Gadol b'Yisrael."
Il n'y a vertuellement rien comme le Zera Shimshon dans la littérature juive. Un Tzadik de cette stature sans aucune mémoire dans ce monde – pas d'enfants ou de location de Kever connu. Juste ses Sefarim.
Et une promesse et bénédiction pour ceux qui étudient ses écrits.
Qui ne veut pas de sa promesse et bénédiction?
Ce que les gens ont trouvé, cependant, est qu'ils viennent pour la Segoulah, mais ils restent pour la Torah, qui est lumineuse, pénétrante et édifiante.
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