Pardon

# 53 Prière de pardonner tout le monde et de prier pour le bien-être de nos ennemis.

Maître du monde, Qui peut tout faire, accorde-moi le mérite de pardonner tout le monde, et jamais de prendre aucune offense, ni sur aucune insulte et ni sur quiconque me nuit, ou qui me fait honte. Au contraire, je puissé-je mériter de les renforcer, et mériter de les supporter avec ce qu’ils ont besoin.

S’il te plaît, mon Père, accorde-moi le mérite d’apporter bonheur à tous ceux qui s’opposent à moi, et de les rendre heureux avec tous types de bonheur. Comme c’est écrit, « Tu plaças le bonheur dans mon cœur de toutes leurs abondantes graines et raisins récoltés ».

Et puissé-je me réjouir avec chaque et chacune réussite qu’ils ont et puissé-je être attristé pour chacune des types de souffrance qui leurs arrivent, D.ieu nous en garde, et puissé-je prier pour eux jour et nuit qu’aucun mal ne devrait leur arriver, D.ieu nous en garde, qui est causée par leur persécution de moi.

Plutôt, au contraire, Hashem devra les rendre heureux avec tous types de bonheur, et les encourage avec tous types d’encouragement.

S’il te plaît, Hashem, puissé-je mériter de réaliser que je dise chaque jour, s’il Te plaît Hashem, « Puisse mon âme être comme poussière de tout, et puisse mon âme être silencieuse de ceux qui me maudissent ». Et puisés-je ne ressentir aucune insulte. Et puissé-je accomplir ce qui est écrit dans [le Likoutei Moharan] leçon 55, « Et dans Son sanctuaire, tout le monde dit, ‘Kavod’ (respect) ».

Que toutes les insultes dans le monde, soient réellement des justes mots de louanges et hommages à celui qui est en train d’être disgracié.

Plutôt, comme Rabbeinou qui dit dans [Likoutei Moharan] leçon 5, « L’oreille qui entend le reproche de vie, parmi les sages il restera ». Que si une personne entend qu’une autre est en train d’être disgraciée, ceci lui montre quel niveau il est actuellement, parce que toutes les combinaisons [des lettres] qui sont mots de louange sont, dans ce cas, transformées en mots de honte et abus. Et, non seulement ça, mais il est entraîné après les mots, et crois-les.

Ceci montre qu’il n’ira jamais au Guehinnom, ni au temps de la venue de Moshiach, et ni après la résurrection des morts.