BS”D BR”H
“The name of the one is Eliezer” (part I)Knishta Chada Rosh Hashanah Edition 5777-2017
De ce qui est en train de se passer autour
Le Gaon et Tzaddik HaRav Eliezer Berland Shlit”a
“Je vous ai apporté un présent – l'Opposition!”
Le présent dont il est impossible d'adoucir
Rabbeinu Hakadosh (Rabbi Nachman) a dit: « Tous les grands tzaddikim atteignèrent d'extraordinaires niveaux. Mais avoir atteint leurs niveaux, ils restèrent là. Comme pour moi, merci D.ieu, je deviens une personne différente à chaque nouveau moment. » Il citait l'opposition qu'il en endurait comme preuve de ceci. Pour le tzaddik est appelé un arbre (Tehilim 92:13), et il a des racines et branches. Maintenant chaque tzaddik , avant qu'il puisse atteindre un nouveau niveau, doit endurer l'opposition, pour les Rabbis ont dit : « les conflits sont comme une percée faite par un jet d'eau... » (Sanhedrin 7a) – i.e. Conflit et opposition sont de la catégorie d' « eau ». C'est l'eau – l'opposition – qui élève le tzaddik. « Mais comme pour moi, » le Rebbe continuait, « j'ai besoin d'opposition constante, parce que je suis constamment en train de bouger d'un niveau à un niveau à chaque moment. Si savais que je suis en train de me tenir où j'étais précédemment, je me rejetterais moi-même de ce monde » (Tzaddik 401).
Heureux sommes-nous que nous méritions d'être des fidèles du vrai tzaddik et ses vrais disciples, pour lequel il est louable pour une personne de passer par toutes les souffrances dans le monde, à travers d'innombrables réincarnations, dans le but d'être proche du tzaddik qui nous a promis de nombreuses fois qu'il finirait par nous emmener à notre vrai but dans le monde, disant : « Tu n'as rien à t'inquiéter, étant donné que je vais devant toi. » Et même plus, il nous a promis que chacun qui est attaché à lui ne quittera pas ce monde sans avoir reçu son tikkoun complet (rectification de l'âme). Et non seulement dans le Monde à Venir, mais aussi dans cette vie aujourd'hui une personne qui est un fidèle du tzaddik mérite de vraiment expérimenter la douceur Divine de servir Hashem (D.ieu), hitbodedout (méditation isolée), nigounim (mélodies saintes), joie, être attaché à Hashem, chatzos
(lamentation de minuit), la douceur de la Sainte Torah et tous les autres bénéfices par être un fidèle du tzaddik.
Malgré ceci, nous avons besoin de se rappeler que nous n'expérimentons pas en toute hâte la douceur et la tendresse dans les grands et précieux présents que nous recevions de Rabbeinou. Non seulement ça, il se peut quelque fois ressentis être très amer et douloureux, seulement nous avons besoin de savoir que ceci aussi est le présent comme tous les autres précieux présents du tzaddik ; et aussi avec le plus grand cadeau de tout que nous avons reçu de Rabbeinou – l'opposition. Quand Rabbeinou retourna de la Terre Sainte il disait, « Je vous ai apporté un cadeau – l'opposition. » C'est impossible de vraiment être un Chassid Breslever ou un disciple du tzaddik sans recevoir ce présent.
« Une fois quelques uns de ses fidèles étaient en train de se plaindre à lui, qu'ils trouvèrent ça dure de supporter l'opposition et la persécution dont ils souffraient. Le Rebbe leur dirent : « Crois-moi, j'ai le pouvoir de faire la paix avec le monde entier, et ensuite je n'aurais plus un seul adversaire. Mais que puis-je faire ? Il y a des niveaux et des palais spirituels dont il est impossible d'atteindre excepté par l'opposition qu'un rencontre. » (ibid. 402). Par conséquent, il se peut qu'une personne reçoive le reste des avantages du tzaddik et saute ces avantages. Car tout qu'impliquant Rabbeinou [également] s'applique à tous ses fidèles dans chaque génération jusqu'à la dernière génération. Également ici, le disciple du tzaddik qui ne va pas à travers la persécution, disgrâce et opposition comme c'est approprié pour chaque Chassid Breslev, a besoin de se vérifier lui-même pour voir s'il est vraiment un fidèle du tzaddik.
Qu'est ce que le Baal Shem Tov n'avait pas mériter ?
Rabbeinou utilisa l'opposition dans le but de d'atteindre la Terre Sainte et de sauver sa vie, comme c'est rapporté dans l'histoire de son voyage dans « La Sagesse de Rabbi Nachman. » Dans le temps que Rabbeinou était à Istanbul, il utilisait des stratégies pour causer que chacun le disgracie et l'oppresse, disant que par ce mérite il atteindrait la Terre Sainte et ne mourrait pas à Istanbul. Il disait : « Avant qu'une personne puisse venir à la grandeur il doit en premier tomber dans la petitesse. La Terre Sainte est la grandeur de la grandeur, donc une personne doit tomber en premier dans la petitesse de la petitesse. La raison pourquoi le Baal Shem Tov échoua à atteindre la Terre sainte était parce qu'il était incapable de descendre de son degré de petitesse » (Tzaddik 37 (140)).
Le plus le tzaddik descend dans la petitesse, le plus il peut s'élever sans la grandeur. Par conséquent, Rabbeinou mérita des niveaux que même pas le Baal Shem Tov atteignit, tout par le mérite des humiliations et disgrâce qu'il accepta sur lui-même. « Une personne a besoin de se rouler lui-même dans tous types de boue et saleté dans le but de trouver faveur et donner du plaisir à Hashem. Ensuite il mérite d'atteindre même ce que Moshé dans sa durée de vie ne mérita pas » (Likoutei Moharan II,5).
Rabbeinou disait : « Moshé certainement avait le pouvoir de rapprocher tout Yisrael de lui, comme c'est écrit, 'Et Moshé rassembla ensemble la congrégation entière d'Yisrael' (Chemot 35), parce que lui-même était le Da'as (conscience) de tout Yisrael, et il était dans son pouvoir de rassembler et de rapprocher chacun à lui. Pourtant, c'est écrit, 'Et ils regardèrent après Moshé' (ibid. 33), dont nos sages interprétèrent comme il faisait [que la congrégation entière le suspecta d'adultère, etc.]. Tout ceci est parce qu'il y a des choses qui peuvent seulement être atteintes par le biais que les gens attisent la discorde contre lui, etc. Nos sages disaient (Sanhedrin 7a) :'La discorde est comme une percée faite par un jet d'eau...' comme c'est dit 'Le commencement d'une querelle est comme libérer l'eau...' et c'est écrit, 'L'homme est un arbre des champs' (Devarim 20). Le plus un verse de l'eau autour de l'arbre du champ, le plus il grandit. »
Par conséquent, rabbi Nosson était fier dans le fait qu'il atteignit des choses que même Rabbeinou n'avait pas mériter. Dans le livre « Siach Sarfey Kodesh, » c'est relaté : « Une fois, Rabbeinou disait comme s'il se lamentait ; 'Même à travers que tu aies des personnes droites, ce n'était pas ceci que je prévoyais. Je prévoyais que je devrais avoir des gens qui rugissent à Hashem des nuits entières comme des animaux dans la jungle.' » C'est apporté là-bas que plusieurs années après le départ de Rabbeinou, Rabbi Nosson disait : « J'ai parmi moi des disciples qui sont tels des servants d'Hashem que Rabbeinou n'avait pas, » parce qu'il avait des disciples qui étaient tels des servants d'hashem qu'ils passeraient des nuits entières à l'extérieur de la ville rugissant en prière comme des lions, comme Rabbeinu voulu. »
Tout ceci était par le mérite des insultes et persécution que Rabbi Nosson traversait, un aspect d'une « double portion » de son professeur, comme Rebbe Nachman explique dans le chapitre 67 qu'un étudiant peut atteindre un double niveau de son professeur, bien que ce soit tout par le mérite de son professeur. Donc, le Baal Shem Tov atteignit petitesse et grandeur, Rabbeinou atteignit petitesse de petitesse et petitesse de grandeur, et Rabbi Nosson atteignit petitesse de petitesse de petitesse de grandeur de grandeur de grandeur. Et ainsi également, chaque fidèle qui reçoit la bénédiction de Rabbeinou [qu'il devrait être] « exactement comme moi, » et mérite « une double portion de ton esprit sur moi, » aussi atteint même plus de grandeur par le biais que même plus de petitesse. Et tout ceci est à travers le pouvoir de Rabbeinou – ceci est le présent qu'il nous légua.
Ceci est également la raison pourquoi le Baal Shem Tov souffrait de la persécution et de la disgrâce des Lituaniens Misnagdim (mouvement d'opposition antiChasidic). Malgré le fait qu'une portion d'eux étaient des érudits phénoménaux en Torah, ils s'opposèrent à la Chasiddus entièrement, par conséquent il était encore possible de les secouer et continuer sur ce chemin. Avec Rabbeinou il augmenta d'un niveau. Rabbeinou souffrait doublement des Misnagdim et aussi des Chasidim et des grands Rebbes comme le « Spoler Zeide » qui essaya d'inciter tous les leaders de la génération contre lui, dans le contexte de prendre de telles actions d'agression dans le but d'infliger un 'Herem (censure rabbinique) complet contre lui. Avec Rabbi Nosson, cela monta d'un autre niveau. Rabbi Nosson mérita la persécution aussi des leaders de Breslev eux-mêmes ! Les plus grands disciples de Rabbeinou.
Rabbi Aharon Farkash shlit''a à la tente de protestation à à côté de la prison de
Tzalmon et relata qu'il avait dans sa main un manuscrit du livre « Yemey Hat'la'os. » Là il est décrit toutes les persécutions et insultes que Rabbi Nosson souffrait par le mains de plus grands disciples de Rabbeinou et tout ce qu'ils parlèrent contre lui. Ces passages étaient enlevé avant publication. La version imprimée est assez terrifiante à lire comment l'opposition de Rabbi Nosson parvint à convaincre de tels rabbis importants comme le Rebbe de Savran, à travers la fabrication de tels mensonges que Rabbi Nosson effectua les pires péchés dans la zone de la kedushah (sainteté) et plus. Un « chassid » jura au Rebbe de Savran qu'il avait vu Reb Nosson avec une fillette sur ses genoux, un autre jura qu'il avait vu Reb Nosson manger de la viande lors du jeûne de Tisha B'av (c'était seulement des années après que Reb Nosson quitta ce monde qu'ils reconnurent, la fillette était sa petite-fille agée d'un 1 an et demi, et c'était une année où Tisha B'av tombait à Shabbos).
Les choses atteignirent un tel point que les leaders de la génération décrétèrent que c'était une Mitsvah de persécuter Rabbi Nosson et tout Chassidim Breslev, et que c'était même permis de le tuer ou de le remettre aux autorités légales utilisant de faux témoignages. Combien de fois ils mirent impitoyablement à l'écart Rabbi Nosson et combien de fois ils le tuèrent presque ! Quand ils ne réussirent pas dans leurs machiavéliques dessins, ils inventèrent des calomnies vides et le remirent aux autorités, qui ensuite l'emprisonnèrent dans les pires conditions possibles. Cela atteignit un point que les autres prisonniers presque le tuèrent. Seulement le garde de la prison qui entendit ses cris le sauva à la fin. Tout ceci n'était pas causé par des gens simples ou ignorants. Plutôt, C'était par les mains de certains de plus grands rabbis et érudits en Torah de la génération. Ils justifièrent leurs actions et clamèrent que Rabbi Nosson fit de lui-même un faux prophète et machia'h, décevant la populace. Par conséquent, il égare et mène la masse égarée et est passible de mort. Dans le but de l'arrêter par les autorités, ils décrétèrent qu'il était permis de témoigner avec des faux témoins contre lui. Donc, ils se tenaient douze faux témoins contre lui avec des vœux vides, distribuant d'énormes pots-de-vins jusqu'à qu'ils réussirent dans leurs designs. Tout ceci était par les mains de gens avec des papillotes et barbes qui passèrent leurs jours et nuits dans des salles d'étude.
Après les autorités de la prison virent que la vie de Rabbi Nosson était en danger imminente, ils l'isolèrent du reste des prisonniers. Là, il était possible de lui apporter quelques livres, papier, et un stylo. Là, il écrivit un de ses discours de Torah les plus merveilleux dans « Likoutei Halachos » (Hilchos Yaiin Nesech '). Dedans, il rapporte son emprisonnement et explique dans un chemin profond comment il pouvait arriver une situation telle que même des observants juifs Torah et mitzvah, même Chasidim, pouvait se tromper dans une affaire aussi grave au point de permettre de verser du sang d'un autre juif et dire qu'il y a une mitzvah de le poursuivre. Comme spécifiquement au sujet du vrai tzaddik, qui amène la lumière du Messie au monde, ils disent de telles choses et exposent tous types de faux raisonnement que selon le chemin de la Torah il y a une mitzvah de le poursuivre au point de la mort. Rabbi Nosson avertit là que, à Hashem ne plaise, chaque personne est en danger de tomber dans leur toile s'il n'est pas assez attentif dans la garde de la sainte bris (alliance), parce que toutes les confusions viennent du fait de ne pas garder la bris. Ceci inclus même les gens qui gardent la Torah entière et seulement dans ce domaine ils sont relâchés. Au contraire, ils disent que garder la bris n'est pas une chose si importante et qu'il n'y a pas besoin d'observer un niveau extra de sainteté. Ils les laissent partir eux-mêmes avec tous types d'excuses de paix à la maison et leur semblant, et que c'est permis de faire des choses interdites. A cause de ceci, toutes les lumières de Torah sont échangées et ils déclarent l'impure pure, le pure impure et qu'il y a une mitzvah de poursuivre les plus grands tzaddikim de la génération, comme nous avons vu à travers toutes les générations. Ceci est une raison fondamentale pour l'allongement de l'exile, car s'ils avaient crus dans le vrai tzaddik, tout aurait atteint la perfection. Rabbi Nosson vient à expliquer la raison secrète que le tzaddik est mis en prison, disant, « Ceci est comme s'ils appréhendent et emprisonnent la Shekhinah (Présence Divine) dans la détention actuelle, en prison, comme si hashem lui-même s'assoit en prison, comme c'est dit 'Et il est lié dans les chaînes' et somme c'est dit de nombreuses fois dans « Tikkounei Zohar » concernant ceci : 'une personne emprisonnée ne peut pas se libérer lui-même de prison. » Voit là en longueur dans Likoutei Halachos.
Pour le bénéfice des lecteurs, nous avons apporté dans une newsletter séparée un résumé de ce qui est écrit dans le livre « Yemey Hat'la'os, » rédigé par Rabbi Avraham ben Rabbi Nachman, auteur des livres « Cochavey Or » et « Biour Likoutim ».Là c'est décrit toutes les épreuves et terribles persécutions dont Rabbi Nosson traversa. C'est décrit comment ils incitèrent tous les leaders de la génération contre lui avec des calomnies vides et dirent qu'il commit les pires fautes dont la loi est qu'il est préférable d'être tué plutôt que de les transgresser, au point qu'ils permirent de verser son sang et de chaque Chasid Breslev. C'est dure de croire comment de tout ce que Rabbi Nosson construisit ces années dans Breslev il resta que cinq disciples dans sa synagogue. Ce que nous appelons aujourd'hui « Chasidim Breslev, » les disciples originaux de Rabbeinou et de Rabbi Nosson dans la ville de Breslev, était au temps de Rabbi Nosson effrayé de dire à quiconque qu'ils étaient un « Chasid Breslev », même dans la ville de Breslev elle-même, par peur d'être tué. Cependant, toute la multitude des Chasidim breslev qu'il y a aujourd'hui sont seulement par le mérite de Rabbi Nosson, de qui Rabbeinou a dit, « Par son mérite, pas une seule de mes conversations ne sera perdues. »
Transmission de la dette au débiteur
Quand nous étions en train de retourner de Tzalmon (Prison loin au nord où Rav Berland était), nous venions de visiter un très fameux grand kabbalist de Tiberias qui préfère actuellement rester anonyme (cependant tous ses commentaires ont été enregistrés).
Le Tzaddik disait : « Nous avons besoin de participer dans les souffrances du tzaddik [se référrant à Rav Berland]. Yimach Shemam (puisse les noms être effacés) des gens qui l'ont mis là [i.e en prison], ils sont l'erev rav, Amalek, et ils sont en train d'empêcher ce Machia'h [de venir]. »
Nous avons demandé à ce fameux kabbalist : « Ad Matai ? (combien de temps cette terrible situation continuera?) Nous n'avons plus assez de force ! »
Le kabbalist répondit : « Je n'ai également plus assez de force : Cette situation me rend dingue. Tous ces erev rav, ces Amalécites, devrait mourir déjà, et ensuite la rédemption arrivera. »
Dans plusieurs autres occasions, on nous a dit la même chose par d'autres grands Tzaddikim, kabbalistes et rabbis qui ont peur de rendre public avec leurs opinions sur le sujet de ce qui est en train d'avoir lieu avec Rav Berland, par peur d'être le prochain à devoir gérer avec toutes ces calomnies, lashon hara et persécution.
Dans une seconde occasion, nous venions de visiter un autre grand tzaddik in Bnei Brak qui nous a dit qu'il savait pour sûre que le Rav, shlita, avait volontairement accepté toutes les hontes et humiliation sur lui-même, et avait même payé des gens pour le calomnier.
Le Tzaddik continua : « La personne qui accepta cet argent, et qui est en train de faire ceci, est un idiot. Tous ceux qui sont en train de continuer la guerre contre ce tzaddik, s'ils ne font pas teshuva [pour ce qu'ils lui ont fait], |dans un délai que le tzaddik ne veut pas spécifier publiquement] ils mourront tous de manière de morts bizarres.»
C'est intéressant que le Rav fit référence à cette date dans une de ses récentes lessons de Torah.
De même, nous voyons dans le livre « Yemey Hat'la'os » qu'après que Rabbi Nosson accepta la terrible disgrâce et persécution, son opposition commença à tomber un par un – certain de mort subite, certain par de terribles et inhabituelles morts, et dans certains cas leur famille entière mourra. A la fin, la portion qui était restée vint à lui, embrassa ses pieds, et au milieu de terribles pleurs demanda qu'il leur pardonne.
«Quand Rabbi Nachman était en train de passer par Istanbul, sur le chemin vers la Terre Sainte, il s'engagea dans un certain nombre de bizarries, activités enfantines dans le but d'entraîner les autres personnes à l'humilier et de lui faire honte en public. Le principal persécuteur de Rabbi Nachman mourra très peu de temps après, et son attendant demanda comment cela pouvait être 'juste', indiquant que le Rebbe avait volontairement pris sur lui-même d'être abusé et humilié par les autres ?
Le Rebbe répondit avec l'histoire suivante ; (cela apparaît dans Shivchey HaRan en hébreu, et peut être trouvé dans 'La Sagesse de Rebbe Nachman' en anglais, publié par L'Institut de Recherche Breslev (The Breslov Research Institute)) :
« Il y avait une fois un roi qui était très attaché de son jeune prince. Il montra beaucoup d'affection au prince, et faisait tout en son pouvoir pour le garder proche de lui. L'enfant grandit et devint un jeune homme, et un jour il fit quelque chose qui était très irrespectueux envers le roi [il annula le décret du roi].
Le roi lui dit : « Même si je t'aime beaucoup, c'est impossible d'aller contre la loi du pays. Le jugement a été prononcé et tu as été condamné à mort ! »
Le roi commanda que le prince soit enchaîné et emprisonné.
Ce jeune prince commença penser à sa mort imminente. Dans son esprit, il pouvait déjà expérimenté la grande douleur dont il souffrirait le moment il serait tué, mais il réalisa que son agonie durerait pour un moment, et ensuite il serait mort.
Mais ensuite, il commença à réfléchir à propos de l'angoisse du roi. Il savait que le roi l'aimait énormément, et lui manquait sa compagnie fortement. Il comprit que sa mort causerait au roi une immense douleur, et que son angoisse durerait pour toujours.
Le prince était plus préoccupé par les souffrances du roi que les siennes, donc il passa un long moment dans une réflexion approfondie, essayant de trouver un moyen d'épargner au roi cette douleur. Finalement, il trouva une idée : la honte est considérée égale à la mort.
Il demanda au garde de la prison de l'emmener auprès du roi. Quand il était en train de se tenir face au roi, il dit : « En vérité, je sais que votre souffrance est plus grande que la mienne. Je sais également que c'est impossible pour vous d'ignorer les lois du royaume. Mais je pense que j'ai trouvé un moyen. Si vous arrangez que quelqu'un me fasse honte en public, la sentence sera accomplie, parce que 'la honte est équivalente à la mort'.
« Apportez-moi un prisonnier qui a déjà été condamné à mourir, et je le provoquerai jusqu'à qu'il se mette en colère, et commence publiquement à m'insulter et me frappe. Je serai amèrement humilié, et ceci sera la même chose que la mort.
« Ensuite, prenez ce prisonnier condamné et exécutez-le, selon son jugement. Les gens penseront qu'il était tué parce qu'il insulta un des serviteurs favoris du roi, et en conséquence, ni l'honneur du roi ni l'honneur du serviteur seront contestés. »
[Rebbe Nachman continua que] Quelque fois, une personne pourrait insulter un grand Tzaddik et est en train de lui faire une grande faveur, sans même le réaliser. Le Tzaddik pourrait avoir été condamné à mort pour quelque méfait, mais la honte qu'il expérimente maintenant annule la sentence de mort.
Néanmoins, ce Tzaddik est un serviteur bien-aimé du Roi, et il n'est pas juste que ces insultes devraient rester impunies. Mais ce n'est également pas une bonne chose de punir une personne juste pour insulter un Tzaddik, parce que 'pour le juste de punir ce n'est pas bon' (Michlei 17:26).
Donc D.ieu résout la question que la personne qui insulte le Tzaddik est une personne qui a déjà été condamnée à mort. Ils pourraient que tous deux soient au même hôtel, et cette personne insulte le Tzaddik. L'humiliation sauve le Tzaddik d'un jugement plus permanent, mais dans le but de protéger l'honneur du Tzaddik, cette autre personne est ensuite punie.
« Le Nom des Cieux est conséquemment sanctifié, mais c'était vraiment un homme mort qui était tué, car il avait été condamné au préalable, de toute façon.»
« Par conséquent, nous voyons que 'tous les chemins de D.ieu sont justes, et qu'il n'y a pas d'injustice en Lui'. (Tehilim 92:16). »
No comments:
Post a Comment